m.t. whitington


A force majeure, female catalyst, futurist, polemicist, psychonaut, epistemologist. Ruminating between the lines with a clarion call and extreme unction.  A global writer with southern roots.


Tell me, spiritecho...

Tell me, spiritecho...

Tell me, did you know every rain

has its own name?

A distant streak of virga evaporates

sublimes across the road,

lost in such a memory.

Caught in a misty smire

that smokes the mountaintops,

clouds pass opening on blue,

afterdrop falls on dew. Clouds pass,

afterdrop, the last drop to fall hits the head!

Tell me, how do you save the language

of nature? Wild beautiful words could,

envisage,

spare us all from falling into chaos

out on nature’s edge.

Grieving ginkgos, little goldenrods fanout

near the ledge.

A golden ocean buried in wanwood and sickliness,

mesmerizing leafmeal,

lookup!

The trees cast themselves... surreal,

in falling leaves of disintegrating light.

Fresh wounds open in sunsets closing spire,

an apocalyptic doomfire!

Raking words from extinction,

will the children panic,

save peace, save green, and save our planet

with vanishing words? Tell me, can we weave

enchantment with a glossary of wild places?

Wait for the shepherd lantern,

run! Children run!

Head towards the first star of the evening,  

follow the salmon

stream stabbing three prongs in the night,

catch wee neptunes, blaze!

Old seeds and words can flare to life again,

peat deep

sparks a call to action, speak childish

where words release their energies

in a zawn, smashing from the chasm’s

pounding waves.

Listen, nature talks back. Tell me, did you know

to defend what we love, we need a particular language?

Devoid of detail, landscape is waste space

but we love what we know,

so next time you take flight

name the nothing you flyover. Call out

the marsh, the bog, hag, and crag in sheer exactitudes.

get specific

over the heathers, brindled moors, and lochs

that are never nothings. Tell me, can we find

words lost again

in the misty aggy-jaggers?

Step into this flowing stream that casts its spell

in rocky granite chants.

Spoken from the page of becoming, incantations

could save nature in the conjuring of new words and spiritecho

creating portmanteaus from pounding waters.

Churning noise of waterfalls

cascade into the sea,

speak this childish from the lady of the lake, a footnote

of divination by taghairm swirling to rapture,

freshwater cries to salt surfacing from hollow cave.

Deafened by this roaring torrent the sea speaks to me.

“Tell me, will the world save the words that will save nature?”

French

 

Dites-moi, savez-vous chaque pluie
a son propre nom?
Une série lointain de Virga évapore
sublime à travers la route,
perdu dans une telle mémoire.
Pris dans un Smire brumeuse
qui fume les sommets,
nuages assent ouverture sur le bleu,
afterdrop tombe sur la rosée. Nuages assent,
afterdrop, la dernière goutte de tomber sur la tête!
Dites-moi, comment voulez-vous sauver la langue
de la nature? Belles paroles sauvages pourrait,
envisager,
nous tous épargner de tomber dans le chaos
sur le bord de la nature.
Le deuil ginkgos, petites verges d'or Épanoui
près de la corniche.
Un océan d'or enterré dans wanwood et maladif,
leafmeal envoûtante,
chercher!
Les arbres se jettent ... surréaliste,
dans la chute des feuilles de désintégration lumière.
Blessures fraîches ouvertes des couchers de clôture flèche,
un doomfire apocalyptique!
Ratisser mots de l'extinction,
les enfants vont paniquer,
sauver la paix, sauver vert, et sauver notre planète
avec fuite mots? Dites-moi, nous pouvons tisser
enchantement avec un glossaire des endroits sauvages?
Attendez que la lanterne de berger,
courir! Les enfants courent!
Dirigez-vous vers la première étoile de la soirée,
suivre le saumon
diffuser poignardant trois volets dans la nuit,
attraper neptunes petites, flamber!
Old graines et les mots peuvent éclater à la vie,
tourbe profonde
étincelles d'un appel à l'action, parler enfantin
où les mots libèrent leurs énergies
dans un Zawn, brisant du gouffre de
martèlement des vagues.
Ecoutez, la nature parle de retour. Dites-moi, saviez-vous
pour défendre ce que nous aimons, nous avons besoin d'une langue particulière?
Dépourvu de détail, le paysage est l'espace des déchets
mais nous aimons ce que nous savons,
Alors, la prochaine fois que vous prenez un vol
nommer le survol rien que vous. Faire appel à
le marais, la tourbière, sorcière, et rocher dans exactitudes abruptes.
obtenir spécifiques
au cours des bruyères, des landes et des lochs, bringés
qui ne sont jamais riens. Dites-moi, pouvons-nous trouver
mots ont perdu à nouveau
dans les Aggy-jaggers brumeux?
Entrez dans ce ruisseau qui coule qui jette son sort
dans les chants de granit rocheuses.
Parlée partir de la page du devenir, incantations
pourrait sauver la nature dans la prestidigitation de nouveaux mots et espritd’echo
créer des porte-manteaux dans les eaux battant.
Barattage bruit des cascades
en cascade dans la mer,
parler de cette puérile de la dame du lac, une note
de la divination par taghairm tourbillonnant à Rapture,
eau douce crie au sel de surfaçage de la grotte creuse.
Assourdi par ce torrent rugissant la mer me parle.
"Dites-moi, le monde va enregistrer les mots qui permettront de sauver la nature?"

 

 

 

 






  

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